Prix d'un mur anti-bruit

Mis à jour le 09 octobre 2019
2019-10-09 08:45:00
Mur anti-bruit

Le bruit est l’ennemi d’une vie dans de bonnes conditions. Le mur anti-bruit est une solution à laquelle il faut penser afin de les améliorer lorsque vous habitez à proximité d’un lieu où les sons dépassent certaines limites.

Nous vous présentons donc toutes ces limites, que ce soit, une route, une voie ferrée, un aérodrome ou aéroport, une usine, etc.

Mais vous trouverez également toutes les solutions ainsi que les notions de prix d’un mur anti-bruit, tout en apprenant de combien de décibels ils vont les amortir. Un prix qui se situe le plus souvent entre 200 et 300 € le mètre linéaire.

 


Récapitulatif

Nombre de dB

Exemple de bruit

Sensation

10 à 20

environnement protégé

très calme

30 à 40

logement calme

calme dans la journée, en activité

50 à 60

environnement de travail

moyen

70 à 80

rue bruyante

bruyant

90 à 100

marteau piqueur

risque de lésions auditives

 

 

Limites de bruit

Route et LGV

Voie ferrée hors TGV

Aérodrome

Activité industrielle

Lden

68 dB

73 dB

55 dB

71 dB

Lnuit

62 dB

65 dB

-

60 dB

 

 

Solution

Gain

Prix à partir de

mur en gabions

60 dB

300 à 350 € le m²

mur en béton ou parpaings

50 dB

150 € le ml en 2 m

mur en briques

40 dB

175 € le ml en 2 m

palissade en bois

25 dB

150 € le ml en 2 m

panneaux acoustiques métalliques

17 à 26 dB

50 à 100 € le ml en 2 m

panneaux transparents

30 dB

sur demande

panneaux isolants

7 dB

sur demande

fibre de coco

30 dB

150 € le m²

mur anti-bruit bois

29 à 30 dB

100 € le m²

barrière en fibrolite

29 dB

25 € le m² à poser

talus naturel en terre

selon étude

selon étude précise

 

 

Mur anti-bruit

200 à 300 € le mètre linéaire sur 2 m de haut

 

 

Les règles

Pour réaliser un mur anti-bruit, il faut bien sûr prendre contact avec les services de l’urbanisme de la commune afin de connaître les règles. En effet, même dans ce cas, les règles locales de l’urbanisme doivent être respectées, tout comme celles en rapport avec la mitoyenneté.

 

Une déclaration de travaux dans le cadre d’un Plan Local d’Urbanisme sera peut-être nécessaire et, dans certains cas, une demande d’alignement.

 

Cependant, si le niveau sonore se trouve accentué de plus de 2 dB par rapport à ce qui existait précédemment, les pouvoirs publics ont pour mission de vous proposer une subvention pour la réalisation de cet écran anti-bruit.

 

Les limites de bruit acceptables

Le bruit est cependant un concept très flou qu’il convient de mieux préciser.

 

Certaines villes, généralement d’une population supérieure à 100.000 habitants, se sont vues imposer la réalisation d’une carte de bruits qui délimite alors les zones exposées, en prévoit les évolutions et contient un plan afin de préserver les zones calmes, par exemple. Un véritable plan prévisionnel afin d’agir contre ce phénomène.

 

Ces cartes sont consultables en ligne et peuvent apporter des réponses lors des acquisitions de logement ou montrer ces évolutions de bruit selon les secteurs. Elles sont imposées par la directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 et ont été ramenées au sein du Code de l’environnement dans les articles L. 572-12.

 

Parmi les actions possibles, le maire d’une commune sur le circuit d’une route nationale peut en faire interdire la traversée par les poids lourds, excepté si ce pouvoir a été transféré au Préfet.

 

Mais, pour mieux comprendre cette notion de bruit, il faut tout d’abord s’en remettre à un tableau comparatif des bruits

 

Nombre de dB

Exemple de bruit

Sensation

10 à 20

environnement protégé

très calme

30 à 40

logement calme

calme dans la journée, en activité

50 à 60

environnement de travail

moyen

70 à 80

rue bruyante

bruyant

90 à 100

marteau piqueur

risque de lésions auditives

110 à 120

réacteur d’avion

très désagréable

130 à 140

 

invivable

 

 

Ainsi, des indices de bruit ont été déterminés au niveau européen selon les concepts de :

  • Lden : niveau de bruit sur une durée de 24 h, d représentant le jour, e la soirée et n la nuit (day, evening, night) ;
  • Lnuit : niveau calculé sur un an pour la période nocturne allant de 22 h du soir à 6 h du matin.

 

Il en ressort un tableau des tolérances réalisé au niveau européen :

 

Indice de bruit

route et LGV

voie ferrée hors TGV

Aérodrome

Activité industrielle

Lden

68 dB

73 dB

55 dB

71 dB

Lnuit

62 dB

65 dB

-

60 dB

 

 

Ces mesures étant celles tolérées, au-delà de ces normes, il est alors possible de demander des mesures afin d’en rabaisser les niveaux et, par exemple, la réalisation de murs anti-bruit.

 

La propagation du bruit

Faire baisser le niveau de bruit, c’est aussi s’attaquer à toute la propagation de ce bruit. Il faut savoir que le bruit se diffuse dans l’espace selon plusieurs principes qui sont :

 

  • la réflexion sur les surfaces et obstacles : le bruit peut aussi se servir des obstacles pour rebondir dessus et se propager par de nouveaux couloirs de circulation, comme un ballon. Pour contrecarrer cette réflexion sur les obstacles, il est nécessaire que ces obstacles soient recouverts d’une surface absorbante qui évitera que le bruit ne soit renvoyé. Même le sol a son importance et la présence d’une pelouse permettra d’amortir les bruits, contrairement à un bitume, par exemple.
     
  • la diffraction par des obstacles : c’est un élément parfois oublié mais elle est aussi fonction de la hauteur de l’obstacle, notamment. Cette hauteur devra être fonction de l’origine du bruit et de la position de la réception pour s’en trouver protégé. Aussi, la pose de chaperons au-dessus d’un mur anti-bruit peut créer une différence et éviter cette propagation jusqu’à votre maison et, encore plus, jusqu’à l’étage de votre maison.
     
  • la dispersion de l’énergie acoustique dans l’espace : le bruit finit par se diluer dans l’espace mais selon des formules variées. Une source fixe de bruit se diluera selon une perte de 6 dB par doublement de la distance, tandis que le bruit de circulation ne diminuera que de 3 dB par ce même doublement de distance.

 

  • l’absorption atmosphérique : la température de l’air, l’humidité ou la fréquence sont des éléments qui ont aussi un rôle dans l’absorption du bruit. Dans un cas moyen, à fréquence de 1.000 Hz, cette absorption est de 4 dB par kilomètre.
     
  • les effets météorologiques : ils prennent de l’importance avec la distance. A moins de 100 mètres de distance, les conditions météorologiques n’ont que peu d’effets mais en prennent au-delà de cette distance, selon les températures et selon le vent.

 

Les risques consécutifs au bruit

Le bruit n’est pas seulement désagréable et peut devenir bien plus qu’une simple gêne. Les conséquences reconnues sont parfois bien plus lourdes et portent alors sur :

  • des problèmes auditifs ;
  • des sommeils perturbés ;
  • des troubles cardiovasculaires ;
  • les capacités cognitives.

 

Les matériaux

Si l’isolation thermique des maisons progresse d’années en années, elle n’est pas toujours au top pour des constructions plus anciennes, y compris lorsqu’elles sont rénovées et, surtout, l’isolation thermique est relativement différente de l’isolation phonique, surtout selon les matériaux utilisés.

 

De plus, vous pouvez avoir une isolation acoustique correcte au sein de votre maison, mais vouloir aussi profiter de votre extérieur, déjeuner sur votre terrasse, sans être agressé par les bruits provenant d’une ligne SNCF, d’une circulation de camions ou autres.

 

Certains matériaux permettent alors de créer un mur anti-bruit avec plus ou moins d’efficacité, selon ce que vous en attendez. Il existe principalement deux sortes de protection, une première qui mise essentiellement sur la masse, comme le gabion, les parpaings ou les briques, et ceux qui misent plus sur leurs caractéristiques isolantes :

 

  • Le mur en gabions
    Cette cage emplie de pierres est la meilleure solution pour stopper efficacement les bruits.
    Il est question d’une efficacité phonique de 60 dB.
    On en retrouve quelques idées dans le guide Construire un mur de soutènement : prix et travaux.
    Il a l’avantage, également, de ne pas nécessiter de lourds travaux de réalisation, mais une pose quand même avec un terrain préparé et un matériel adapté pour bien positionner ces cages, notamment les unes sur les autres.
    Le prix d’une telle réalisation se situe entre 300 et 350 € le m².
     
  • Le mur en parpaings
    Aussitôt après le mur en gabions, c’est le mur en parpaings qui offre les meilleurs résultats avec une efficacité phonique de 50 dB.
    Vous pourrez trouver des parpaings à enduire ou des parpaings apparents, de diverses couleurs, bruns, beiges, etc. Il existe aussi une gamme de blocs absorbants poreux permettant de prendre le bruit et le retenir.
    Dans le cas de la réalisation d’un tel mur anti-bruit, son coût sera aussi moins élevé, à partir de 150 € le mètre linéaire.
     
  • Le mur en béton
    Il est aussi possible de couler le mur façon béton banché.
    Pour en renforcer l’élément amortisseur du bruit, l’ajout de granulats de bois sera appréciable.
    On se rapproche alors d’une isolation phonique comme le parpaing avec un prix qui s’en rapproche également.
     
  • Le mur en briques
    D’une efficacité phonique de 40 dB, le mur en brique reste dans les prix du précédent, commençant autour de 175 € le mètre linéaire.
    Les variétés et les qualités s’apparentent à celles du parpaing, avec des variétés éventuelles de couleurs et des propriétés absorbantes, même si l’efficacité est sensiblement moindre que dans le cas précédent.
     
  • La palissade en bois
    Elle a l’avantage d’être plus naturelle mais perdra aussi en efficacité.
    Cette efficacité phonique est alors de 25 dB.
    Le prix débute aussi autour de 150 € le mètre linéaire.
     
  • La tôle ondulée et panneaux acoustiques métalliques
    Il est aussi possible de réaliser un mur anti-bruit métallique.
    Il aura pour effet d’être plus vite réalisé.
    Par contre, à moins d’un mur double peau, les performances seront moins bonnes, se limitant à 17 dB de protection.
    Cependant, dans certains cas, ces 17 dB seront importants et le prix bien inférieur à celui du gabion ou des parpaings et briques.
    Dans une optique double peau, la protection pourra passer à 26 dB.
    De 50 à 100 € le mètre linéaire, des solutions existent.
     
  • Les panneaux réfléchissants transparents
    Vouloir se protéger du bruit n’implique pas forcément de vouloir perdre la vue qui était la vôtre sur tout l’environnement.
    Vous conserverez aussi une bonne luminosité derrière le panneau et éviterez une grande zone d’ombre.
    La pose de panneaux réfléchissants transparents peut aussi vous faire gagner autour de 30 dB.
    Généralement en polycarbonate, ils sont aussi une solution pour la surélévation d’un mur existant.
    Ils peuvent aussi s’entremêler avec un mur plein afin de laisser quelques brèches pour la vue, dans votre mur anti-bruit.
     
  • Les panneaux isolants
    Il existe un certain nombre de compléments comme la fibre ou la laine de verre qui viennent compléter les panneaux acier vus précédemment ou renforcer un mur déjà existant pour le rendre anti-bruit.
    La pose est également possible sur rail mais peut alors revenir plus cher et devenir fastidieuse.
    La barrière en laine de roche permet de gagner environ 7 dB pour une épaisseur de 50 mm.
     
  • La fibre de coco
    Elle offre un panneau plus esthétique et sur lequel peut facilement se prendre la végétation.
    Un gain de 30 dB est alors possible.
    Le prix est alors de l’ordre de 150 € le m².
     
  • Le mur anti-bruit en bois
    Facile à monter, il permettra de gagner environ 30 dB et existe en version 13 ou 18 cm (pour peu de différence : 29 et 30 dB).
    Le fait d’être équipé d’un corps creux permettra d’amortir les bruits et de ne pas les réfléchir chez le voisin.
    Une version assez esthétique de mur qui ne revient qu’à environ 100 € le m².
     
  • La barrière en fibrolite
    C’est une solution économique qui ne vous coûte qu’autour de 25 € le m² à poser.
    Par contre, son esthétisme n’est pas le meilleur et il faudra prévoir une finition pour le rendre plus agréable.
    Le gain est de 29 dB.
     
  • Le talus de terre
    C’est parfois une solution naturelle très efficace, plutôt employé par les collectivités.
    L’intérêt est de pouvoir le paysager, mais il faudra aussi prévoir de l’entretenir.
    Il est créé avec un renforcement des flancs pour éviter qu’il ne glisse au fil du temps.
     

Par contre, si certains pensent isoler phoniquement avec la végétation, c’est une erreur, l’effet d’arbres ou de haies sera mineur puisque, comme un mur qui ne serait pas totalement hermétique, avec des trous, le son passe quand même et le feuillage ne suffit pas pour l’arrêter. Vous ne diminuerez que faiblement le bruit, par contre, vous pourrez vous isoler de la vision d’une route.
 

Afin de construire un mur anti-bruit, une étude par un professionnel sera requise afin de déterminer le niveau sonore auquel vous êtes confronté et en déduire la meilleure solution vous concernant.

 

Solutions

Gain

Prix à partir de

mur en gabions

60 dB

300 à 350 € le m²

mur en béton ou parpaings

50 dB

150 € le ml en 2 m

mur en briques

40 dB

175 € le ml en 2 m

palissade en bois

25 dB

150 € le ml en 2 m

panneaux acoustiques métalliques

17 à 26 dB

50 à 100 € le ml en 2 m

panneaux transparents

30 dB

sur demande

panneaux isolants

7 dB

sur demande

fibre de coco

30 dB

150 € le m²

mur anti-bruit bois

29 à 30 dB

100 € le m²

barrière en fibrolite

29 dB

25 € le m² à poser

talus naturel en terre

selon étude

selon étude précise

 

 

Les caractéristiques de sa construction

Afin d’être efficace, il faut cependant que ce mur anti-bruit possède certaines particularités qui sont :

  • une hauteur minimum de 2 m, qui pourra cependant être supérieure selon l’origine du bruit et le point à isoler (par exemple des chambres à l’étage)* ;
  • une longueur qui dépasse celle de votre terrain pour que le bruit ne puisse pas passer par les extrémités ;
  • la présence d’un isolant pour en renforcer l’absorption des nuisances sonores ;
  • sa réalisation au plus près de la présence du bruit ;
  • une construction sans failles, fissures, trous ou autres passages du son.

 

* Pour mieux calculer la hauteur nécessaire de mur, il faut créer une ligne droite qui va de l’origine du bruit jusqu’à au-dessus du point que vous souhaitez protéger, fenêtre d’étage, velux, terrasse haute, etc.

 

Un projet commun

Le fait de devoir protéger plus long que sa simple propriété vous incitera aussi à prendre des décisions avec vos voisins pour créer un mur anti-bruit avec eux, si possible, dans la mesure où ils pourraient être également concernés par le projet.

 

L’avantage sera multiple. Tout d’abord, le mur sera bien plus efficace sur une grande longueur, concernant une dizaine de propriétés ou plus. Mais il vous reviendra aussi moins cher, vous permettant de négocier des prix. En outre, si ce bruit s’est récemment intensifié, vous pourrez plus facilement négocier une participation des pouvoirs publics ou une déviation poids lourds, par exemple.

 

Sans oublier que si vous êtes seul à créer un mur anti-bruit, vous risquez de les intensifier chez vos voisins, par répercussion.

 

Par contre, si vous êtes seul à vous protéger, comme le bruit risque de passer par les extrémités non protégées de votre façade, surtout dans le cas d’une route, la solution consistera à créer des retours sur ces extrémités, sur votre propriété.

 

Construction ou amélioration ?

Il a été essentiellement question de création d’un mur anti-bruit, jusqu’à présent. Toutefois, dans certains cas, le mur existe déjà autour de la propriété, mais les sons passent quand même du fait d’une hauteur insuffisante ou d’un mur insuffisamment amortisseur.

 

Dans le premier cas, la solution sera de surélever le mur et la solution des panneaux transparents, souvent en plexiglas, est privilégiée du fait de son faible poids qui lui permettra d’être facilement supportée sans donner, de plus, l’impression de totalement s’enfermer.

 

L’autre solution pour surélever le mur est de lui ajouter des chaperons. Ils peuvent permettre de gagner les précieux centimètres qui pourraient vous manquer et pour un prix de l’ordre de 30 € le mètre, seulement.

 

Il sera toutefois nécessaire de bien vérifier que, non seulement le mur existant, mais aussi les fondations permettent d’assurer la bonne tenue de cette paroi supplémentaire et de sa surcharge.

 

Si les sons passent, non plus du fait de la hauteur mais d’un matériau insuffisamment isolant phoniquement, il est alors possible de créer un doublage en fibre de coco ou en fibre de verre, par exemple.

 

Il ne faudra cependant pas négliger tous les passages d’air et donc de sons qui pourraient se trouver dans votre clôture existante, fissures ou trous, et les boucher. Tout comme vous devrez aussi posséder un portail, et un portillon si nécessaire, qui soient tout aussi hermétiques que votre mur anti-bruit, au risque d’effectuer une dépense inutile, sinon. Il faut donc éviter le portail en claire voie et privilégier un portail plein, et de préférence en bois et assez épais.

 

Avantages et inconvénients

Inutile de trop insister sur l’avantage d’un tel ouvrage, qui vous permet enfin de profiter pleinement de vos extérieurs et de pouvoir dormir la fenêtre ouverte, la nuit, sans être maintenu éveillé par les bruits de la rue, ou de travailler à domicile la journée, sans que l’usine d’à côté ne vous empêche de vous concentrer.

 

Pour ce qui est des inconvénients, ils sont de deux ordres. Le premier est celui de l’ombre que pourrait créer un tel mur, surtout s’il doit dépasser les 2 mètres et si le recul de votre maison est insuffisant. La parade à ce premier inconvénient est donc dans la pose de panneaux anti-bruit translucides, sur tout ou partie de la hauteur.

Le second inconvénient est dans l’aspect des panneaux. Dans ce cas, il sera possible d’opter pour des solutions plus esthétiques comme le mur en gabions ou des solutions qu’il est possible de végétaliser.

 

Le prix

Le prix d’un mur anti-bruit réalisé pour un particulier, et donc quand même inférieur en atténuation de bruit de celui pour les collectivités.

 

Il se situe alors autour de 200 à 300 € le mètre linéaire, dans le cas d’une hauteur de 2 mètres, en moyenne, et pourra s’élever jusqu’à 400 € pour certaines régions.

 

 

Prix en réalisation

Mur anti-bruit

200 à 300 € le mètre linéaire sur 2 m de haut

 

 

Les prises en charge

Comme il a été vu, certains dépassements de bruits peuvent permettre de contacter votre lieu de résidence, commune, communauté de communes, communauté d’agglomération, afin de faire réaliser cet ouvrage.

 

C’est le cas lorsque les seuils de bruit dépassent ceux exposés dans un des tableaux, à savoir 73 dB pour une voie ferrée, 71 dB pour une industrie, 68 dB pour une route ou une LGV, 55 dB pour un aéroport. Une opération commune aura plus de chances d’aboutir.

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